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  • fannyaladenise

Prendre Soin de son corps: les limites, le stress, nos saisons, nos corps énergétiques.

Dernière mise à jour : 17 févr.


Cet article est la suite de celui ci: https://www.harmonyz.fr/post/prendre-soin-de-son-corps


- L’écoute des nos #limites

Notre corps a des capacités, qu’il peut dépasser, mais cela lui coûte. Cela nous coûte…

Cela nous arrive dans le cadre du sport ou du #stress, de la #pression...

Il est important important d’en être conscient et d’offrir ensuite les soins compensateurs à notre corps.


Si nous considérons notre corps équivalent à notre voiture, imaginez faire tourner le moteur à plein régime pendant 500 kms, il n’est pas fait pour ça… Dès que possible vous filez chez le garagiste pour vérifier si tout va bien ?

Et c’est pareil pour notre corps, en cas de dépassement des limites, il faut ensuite allez faire une petite révision...ainsi notre voiture sera en pleine forme et donnera le meilleur d’elle-même tout au long de sa vie, de notre vie…

Je reviens sur les étirements, ils font partis des habitudes qui permettent de gérer les tensions musculaires induites par un dépassement des limites...


Chez l’être humain, c’est souvent le stress, la pression qui nous fait surutiliser notre corps. En prendre conscience, permet de repérer les moments où nous le faisons et d’essayer de faire autrement. Vous aurez la surprise de voir que ça fonctionne aussi !!

Honnêtement dans l’action poussée par le stress, nous perdons souvent un temps fou par étourderie et éparpillement !


Parfois notre corps est tellement installé dans cette habitude qu’il ne sait plus faire autrement : il est en mode #orthosympathique tout le temps, victime de la boucle du #cortisol. Cela arrive aussi chez les bébés qui ont eu un vécu de naissance difficile ou un stress important et qui n’arrivent ensuite pas à lâcher… Ces bébés qui tètent beaucoup, ne s’endorment qu’en voiture ou bercé dans la poussette… tout cela stimule en fait le système nerveux #parasympatique et permet de revenir à l’équilibre…


De mon côté, dès que je fonctionne sous le stress, mon #mental prend beaucoup de place, mes muscles se tendent, mon attention diminue et je suis donc moins efficace, attentive, moins disponible. Preuve en est de la nouvelle bosse sur ma voiture (la vraie !) ...

J’ai insisté sur les limites de notre corps, mais il est également chouette de connaître ses facilités : en quoi mon corps est-il doué ? et de profiter de cela !

- Connaître et respecter ses saisons:

Nos saisons créent des différences de capacité et réceptivité… L’été nous n’avons pas la même pêche que l’hiver… En pleine ovulation, la femme se sent différente du moment des menstruations… Mais les hommes aussi ont leur #cycle. Connaître ses fluctuations permet premièrement de répondre à ses besoins et deuxièmement d’adapter ses activités à son énergie… Aller faire un marathon quand votre corps ne pense qu’au plaid à côté du poêle n’est pas productif voir dangereux…

Nous sommes comme les arbres avec un été en pleine fleur, avec beaucoup d’action, un automne où nous préparons tout doucement la baisse de l’énergie pour aller vers l’hibernation de l’hiver en attendant le prochain printemps où nous fleurirons à nouveau !


- Nos corps énergétiques :


J’ai beaucoup parlé du corps physique. Mais, en fait, nous en avons d’autres énergétiques qui s’emboîtent comme des poupées russes.

Nous sommes un amas d’atomes en #vibration. Ces atomes sont si proches les uns des autres dans notre corps physique que nous sommes matière mais nous sommes avant tout énergie en mouvement constant.

Le mouvement se fige si nous ne nous laissons pas traverser par l’instant. Je m’explique :


Si je me laisse traverser par l’instant et le vécu que j’en ai, il passe en moi, je le vis puis il n’est plus. Je ne m’identifie pas à lui, c’est un moment que je traverse, qui me traverse et c’est tout.


Si je m’identifie à ce moment, m’accroche à ce vécu alors je le garde et le cristallise en moi. Il va donc figer le mouvement de mes atomes dans une #mémoire cellulaire. Mon corps apprendra à fonctionner avec cette mobilité en moins et je ne le sentirai plus. Pourtant cela restera toujours là, en moi, ce moment que je n’ai pas pu laissé passer et que j’ai gardé en moi.


Et puis, moments plus moments finiront par gêner la fonction et engendrer le symptôme… la maladie…



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