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Frénectomie : au-delà du geste, la libération du corps et de soi

  • fannyaladenise
  • 30 oct.
  • 2 min de lecture
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Frénectomie et frein lingual : au delà du geste...


Quand j’ai enfin été prête dans mon corps à la frénectomie, j’ai eu peur.

Pas peur du geste chirurgical, non.

Ça, je m’y suis préparée depuis longtemps.


Mais j’avais peur de la réaction de mon corps sans ce frein lingual.

Je me voyais après ce moment tant attendu, comme allongée par terre, immobile, sans tonus, sans vraiment comprendre pourquoi.


Plusieurs fois, ma collègue kinésiologue m’avait dit que ce frein avait peut-être aussi du sens dans ma vie, en plus de me gêner physiquement.


Alors je suis allée la voir, et je lui ai déposé ce que je ressentais.

Nous avons exploré ce que le frein pouvait signifier dans ma vie.

Et oui, c’était une certaine sécurité, une légère bride qui me permettait d’y aller doucement, sur tous les plans de ma vie.


Mais c’était aussi une tension permanente, contre laquelle je devais lutter pour ma mobilité.


Nous avons alors déprogrammé ce besoin de freins et reprogrammé la possibilité de prendre les bonnes décisions dans ma vie en toute sérénité.


Depuis, je sens que mon frein lingual postérieur gêne moins la mobilité de ma langue. Il n’a pas gagné en élasticité ni en longueur, évidemment.

Mais c’est comme si tous les tissus autour se laissaient maintenant déplier, facilitant la mobilité postérieure de ma langue.


Je prends le temps de réveiller cette motricité avant de prendre mon rendez-vous.

Et quand je me projette maintenant, je suis en paix et en sérénité.


Tu as une question sur les différents types de freins  ?✨


N’hésite pas à la poser en commentaire, j’y répondrai avec plaisir.


Je suis Fanny Aladenise, Facilitatrice de l'alignement corps, coeur, tête à Duerne et Sain-Bel dans les Monts du Lyonnais.

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